User and researcher collaborations in mental health in low and middle income countries: a case study of the EMPOWER project

Auteur(s)

  • E. Gupta
  • B. Roberts

Référence

User and researcher collaborations in mental health in low and middle income countries: a case study of the EMPOWER project. BMC Research Notes. 2014. 6p

Résumé de l'auteur

Background. Increasing recognition has been given to the interaction of users and researchers in shaping the perspective and practice of mental health care. However, there remains very little evidence exploring how this interaction works, particularly in low and middle income countries. The aim of this study was to explore experiences of how users and researchers worked together to communicate research, using a case study of the EMPOWER project.
Methods. The study followed a case-study approach. EMPOWER was a project that sought to strengthen the capacity of user organizations in India, Kenya, Nepal and Zambia by encouraging user-researcher collaborations to communicate research findings in the four countries. A qualitative research method was applied for this study, with semi-structured interviews conducted with seven people: two researchers, one communications developer, and four user group members (one from each of the four countries). Data were analyzed using thematic analysis.
Results. The findings indicated positive perceptions of the collaboration between researchers and users. Key themes were partnership and support, the value of the personal experience of users and their knowledge of the target audiences, and empowerment. Key challenges related to differences in levels of education and technical knowledge and the lack of payments to users.
Conclusions. This exploratory study provides insight to help understand collaborative processes for communicating mental health research. It highlights many positive outcomes from the EMPOWER collaboration but also highlights the need for more in-depth research on this issue.

[Traduction]
Contexte. Une reconnaissance croissante a été accordée aux interactions des utilisateurs et des chercheurs dans l'élaboration des perspectives et des pratiques de soins en santé mentale. Pourtant, il reste peu d’études permettant d'expliquer cette interaction, en particulier dans les pays à faible et moyen revenu. L’objectif de cette recherche était de découvrir, à travers leurs expériences, comment les utilisateurs et les chercheurs ont collaboré pour communiquer leurs résultats de recherche. L'étude de cas du projet EMPOWER a été utilisée.
Méthodes. L'étude a suivi une approche d'étude de cas. EMPOWER est un projet qui vise à renforcer la capacité des organisations d'utilisateurs en Inde, au Kenya, au Népal et en Zambie en encourageant les collaborations entre les utilisateurs et les chercheurs afin de mieux communiquer les résultats de recherche dans les quatre pays. Une méthode de recherche qualitative a été appliquée pour cette étude. Des entretiens semi-directifs ont été menés avec sept personnes: deux chercheurs, un développeur en communication et quatre membres du groupe d'utilisateurs (un pour chacun des quatre pays). Les données ont été analysées en utilisant une analyse thématique.
Résultats. Les résultats ont indiqué une perception positive dans la collaboration entre les chercheurs et les utilisateurs. Les principaux thèmes abordés étaient: le partenariat et le soutien, la valeur de l'expérience personnelle des utilisateurs et leur connaissance du public ciblé et l'émancipation. Les principaux défis provenaient des différences de niveaux d'éducation et de connaissances techniques ainsi que de l'absence de paiements pour les utilisateurs.
Conclusion. Cette étude exploratoire propose un aperçu permettant la compréhension du processus collaboratif ayant pour but de communiquer sur les recherches sur la santé mentale. Cette étude souligne les nombreux aboutissements de la collaboration avec EMPOWER mais aussi la nécessité de mener une recherche plus approfondie sur cette question.

Commentaire du Centre Ressources

This study was chosen because it explored the possibility of improving the communication of research findings about mental health to service-users by means of service-user / researcher partnerships. The study was conducted in four countries which were Kenya, Nepal, Zambia and India. Interviews were conducted with two researchers, one communications developer and one user group member in each country. The findings indicated positive perception of this approach and indicated some areas for improvement of the process. This is a small study but it does show that this may be a fruitful approach. This is written for an academic readership but should be accessible to others with tertiary education. The full text is available online with open access. It might be useful to explore how widely this paper has been disseminated amongst non-government organisations who are considering conducting research in mental health. In addition, dissemination in a less-academic format amongst disabled persons’ organisations and CBR groups may encourage them to feel able to suggest they take a more active role in the communication of research findings amongst service-users.

The resesearch is available in paying access.

[Traduction]

Cette étude a été sélectionnée car elle explore les possibilités d'améliorer le partage des résultats de recherche sur les maladies mentales avec les utilisateurs de services, grâce à un partenariat entre les utilisateurs de service et les chercheurs. L'étude a été conduite dans quatre pays: Kenya, Népal, Zambie, et Inde. Les interviews ont été menées par deux chercheurs, un développeur en communication et un membre du groupe d'utilisateur pour chaque pays. Les résultats ont indiqués que le ressenti sur cette approche était positif, toutefois, le processus pourrait être amélioré. C'est une étude modeste, mais elle montre qu'une telle approche peut s'avérer fructueuse. Ce document est rédigé pour des universitaires mais peut être accessible à des personnes disposant d'un niveau d'études supérieures. Le texte est disponible en accès libre sur internet. Il peut être intéressant de sonder l'ampleur de la diffusion de ce document parmi les organisations non gouvernementales qui envisagent de mener des recherches sur la santé mentale. De plus, la diffusion de ce document dans un style moins académique parmi les Organisations de Personnes Handicapées et les groupes de RBC pourrait les encourager à s'engager plus activement dans la communication des résultats de recherche parmi les utilisateurs de services.

Cette recherche est disponible en accès payant.